Janvi (Inde)

Janvi Mehta (Inde)L’année dernière, j’ai eu la chance d’aller passer trois semaines à l’université de Montréal. Il y avait des gens du Brésil, de Chine, du Japon, de Corée, avec qui je suis encore en contact. Il a fallu communiquer en français, car c’était notre seule langue commune. J’ai beaucoup appris sur la francophonie, et notamment qu’elle ne se limite pas aux seuls Français. Elle englobe aussi des Chinois, des Africains qui parlent français, même si le vocabulaire, la prononciation et la phonétique peuvent être très différents d’un pays à l’autre.

Janvi Mehta (Inde)L’année dernière, j’ai eu la chance d’aller passer trois semaines à l’université de Montréal. Il y avait des gens du Brésil, de Chine, du Japon, de Corée, avec qui je suis encore en contact. Il a fallu communiquer en français, car c’était notre seule langue commune. J’ai beaucoup appris sur la francophonie, et notamment qu’elle ne se limite pas aux seuls Français. Elle englobe aussi des Chinois, des Africains qui parlent français, même si le vocabulaire, la prononciation et la phonétique peuvent être très différents d’un pays à l’autre.


"J'ai été surprise par les différences entre le français de France et celui du Québec, alors que c'est la même langue !"


J’ai un fils de 5 ans à qui j’ai déjà commencé à enseigner le français. Il a hâte d’être à l’école primaire pour suivre des cours. Il a surtout envie d’apprendre cette langue parce qu’il aime les chansons françaises – celles de Françoise Hardy par exemple, comme « Tous les garçons et les filles… ». Chaque fois que nous sommes en voiture, il me la réclame.

Moi, j’ai commencé à apprendre le français au collège, puis j’ai repris des cours plus tard à l’Alliance française de Bombay. Je ne pensais suivre que quelques cours, mais je n’ai pas pu m’arrêter ! Il n’y a pas de limites, il y a tant de choses à apprendre !

Janvi Mehta
Professeur de français