Dans ce « cybercarnet», nous vous racontons notre activité de « didacticien du FLE appliquée à la radio ». Un petit tour guidé dans les coulisses du service «
02 févr. 2009 - 15:18
Christiane (Canada)
Être francophone, c’est faire partie d’un immense monde qui vit de cette culture.
C’est aussi, pour moi, parler français en Amérique du Nord, et défendre une position délicate et fragile pour laquelle on se bat, puisqu’on est 7 millions, au milieu de 300 millions d’anglophones.
Être francophone, c’est faire partie d’un immense monde qui vit de cette culture.
C’est aussi, pour moi, parler français en Amérique du Nord, et défendre une position délicate et fragile pour laquelle on se bat, puisqu’on est 7 millions, au milieu de 300 millions d’anglophones.
C’est aussi, pour moi, parler français en Amérique du Nord, et défendre une position délicate et fragile pour laquelle on se bat, puisqu’on est 7 millions, au milieu de 300 millions d’anglophones.
"Le Québec, c'est un peu le village d'Astérix."
Parfois, on va franciser des mots et passer pour des fous auprès des Français, qui eux truffent leur vocabulaire de mots anglais. Mais il faut simplement se défendre, et faire attention à ce que notre langue ne s’éteigne pas. J’aurais peine à voir mes petits-enfants écrire en anglais, je ne voudrais pas qu’ils oublient le français.
Quand j’étais petite, à Montréal, je me souviens que tout l’affichage était en anglais, et c’était très dur.
"Quand j'étais petite, ma mère refusait de se faire servir en anglais."
Christiane Duchesne
Écrivain