Dans ce « cybercarnet», nous vous racontons notre activité de « didacticien du FLE appliquée à la radio ». Un petit tour guidé dans les coulisses du service «
Pocas (Angola) et Victor (Mozambique)
Victor de Oliveira et Pocas Pascoal ont respectivement interprété les rôles de Kwamé, le jardinier, et de la conteuse, pour la version lusophone du feuilleton.
Victor : « La première année à Paris, tous les soirs, je lisais des textes à haute voix et je m’enregistrais » :
Pocas, elle, n’a pas appris le français à l’école, mais au cinéma. En Angola, les films français était en VO et sous-titrés en portugais. C’est l’amour de la langue, mais aussi la rencontre avec un Français, qui ont facilité son apprentissage. Le français étant proche du portugais, elle s’exprimait déjà bien au bout d’un an !
Pocas : La langue de l’amour et l’amour de la langue :
Victor, lui, n’a pas le même rapport à la langue française que Pocas : le français était au départ une langue de travail. C’est grâce au théâtre français et à la découverte de ses auteurs contemporains que Victor a véritablement commencé à aimer et admirer les subtilités de la langue française.
Victor : « Plus j’allais vers le théâtre, plus je comprenais l’importance de Paris, la capitale du théâtre » :
Quasiment bilingues à présent, Pocas et Victor reconnaissent tous les deux qu’ils n’ont pas le même ton quand ils parlent portugais ou français. Est-ce parce qu’une des deux langues n’est pas leur langue maternelle ?
Pocas et Victor : « Pourquoi parle-t-on plus fort en portugais qu’en français ? » :
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